Né en 1978 à Wilkes-Barre (Pennsylvanie, Etats-Unis), le guitariste et chanteur Benjamin Burnley forme Breaking Benjamin à l'âge de vingt ans avec son acolyte guitariste AaRON Fink et la section rythmique Nick Hoover (basse) et Chris Lightcap (batterie).
Benjamin le casseur
Le nom du groupe provient d'une anecdote où le chanteur avait cassé un micro lors d'un concert. A la fin de l'année 2000, Benjamin Burnley engage le bassiste Mark Klepaski, camarade d'Aaron Fink au sein de Lifer, et le batteur Jeremy Hummel.
Le songwriter Benjamin Burnley lance son groupe sur les chapeaux de roue d'un rock influencé par le grunge et tendant vers des sonorités metal à forte dominante mélodique. Cet éclectisme se retrouve dans le premier album Saturate sorti en août 2002 sur Hollywood Records, après les succès locaux du single autoproduit « Polyamorous ».
Du rock au mainstream
L'album suivant We Are Not Alone, publié en 2004, est porté par le hit « So Cold » classé n°2 au Billboard Rock. Il compte la participation en soutien de Billy Corgan (Smashing Pumpkins) et engage Breaking Benjamin dans une vaste tournée aux côtés d'Evanescence. Le single suivant « Sooner or Later » se classe également en seconde position des charts rock.
En septembre 2004, le batteur Jeremy Hummel congédié par le leader entame une procédure à l'encontre du groupe pour réclamer des royalties non versées. Breaking Benjamin le remplace par Chad Szeliga.
En 2006, le troisième et meilleur Opus Phobia accentue la tendance avec le single « The Diary of Jane » (n°2 du Billboard général). Breaking Benjamin part en tournée avec Evans Blue puis Godsmack. Le Quatuor de retour en studio s'attelle à son quatrième album Dear Agony paru en septembre 2009 avec pour premier extrait « I Will Not Bow ».